NOUS GLISSONS SOUVENT
SUR CE QUE NOUS NE COMPRENONS PAS
Prenez l'erreur d'un explorateur
Il contraste la danse occidentale (à droite)
avec celle de « diables noirs »
avec celle de « diables noirs »
Mais la danse africaine unit le village : les jeunes mettent en valeur les exploits du chef sous le regard de la population. À d'autres moments hommes et femmes dansent en lignes séparées, ne se touchant pas, car l'organisation sociale, y compris par genre, est collective.
(La danse occidentale a été collective, telles les bourrées des villages français et les « square dances » de l'Angleterre et de l'Amérique du Nord, et les danses de salon et de cour. Le changement est venu avec la valse au début du XIXe siècle, qui accompagne l'accent sur le couple bourgeois.)
L'explorateur fait montrer par l'artiste l'ébahissement de sa partenaire, donc sait qu'il a brisé les règles. Il croit avoir bien fait : il a montré comment danser aux Africains !
(La danse occidentale a été collective, telles les bourrées des villages français et les « square dances » de l'Angleterre et de l'Amérique du Nord, et les danses de salon et de cour. Le changement est venu avec la valse au début du XIXe siècle, qui accompagne l'accent sur le couple bourgeois.)
L'explorateur fait montrer par l'artiste l'ébahissement de sa partenaire, donc sait qu'il a brisé les règles. Il croit avoir bien fait : il a montré comment danser aux Africains !
Les explorateurs, comme les historiens,
confrontent des mondes qu'ils ne comprennent pas.
Plutôt que d'indiquer les énigmes
ils amassent des informations.
Quelquefois un détail qui illumine
se glisse dans leurs récits.
confrontent des mondes qu'ils ne comprennent pas.
Plutôt que d'indiquer les énigmes
ils amassent des informations.
Quelquefois un détail qui illumine
se glisse dans leurs récits.
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